top of page

Vive le croissant... français !

  • Photo du rédacteur: Admin
    Admin
  • 7 mai 2017
  • 2 min de lecture

L'ouverture de la première boulangerie Paul en Tunisie est « un investissement étranger qui vient enrichir le produit touristique tunisien »


Pour la ministre du Tourisme, l'ouverture du premier point de vente de la boulangerie Paul en Tunisie est « un investissement étranger qui vient enrichir le produit touristique tunisien ». Lors de l'inauguration de la boutique à la Marsa (Tunis), samedi 29 avril 2017, Selma Elloumi Rekik rappelle que « la Tunisie a vécu les années 2015 et 2016 très durement, mais de grandes enseignes internationales ont poursuivi leurs investissements et maintenu leur présence dans le pays ».

Des son côté, l'Ambassadeur de France tient à souligner que « l'art de vivre est très important en Tunisie », et que « le croissant proposé au petit déjeuner contribue à le faire savoir », se félicitant au passage qu'il soit « français ».


« Un très bon choix ! »

« La Tunisie a un rapport exceptionnel à la gastronomie », affirme Olivier Poivre d'Arvor. « En France, nous avons de très belles marques. Et si 80 millions de touristes viennent en France chaque année, ce n'est pas uniquement parce qu'ils trouvent les Français sympathiques... », plaisante-t-il. « Mais parce que nous avons la culture et la gastronomie, symboles de l'art de vivre qui est aussi très important en Tunisie. »

Le choix de la boulangerie Paul de s'implanter à la Marsa (Tunis), et d'ouvrir son premier point de vente dans le pays (le 294e dans le reste du monde, NDLR), est « un très bon choix », selon Olivier Poivre d'Arvor. Et de rappeler que « la marque française (plus que centenaire, NDLR) est issue du nord de la France, en pays Ch'ti, pas très avancé à l'époque (...) »


« De l'ambition et du travail (...) »

« C'est un message fort pour la Tunisie », lance l'ambassadeur de France en Tunisie. « C'est la preuve qu'avec un savoir-faire local ; avec du temps, de l'ambition et du travail, on peut y arriver ! »

« C'est un homme âgé de 32 ans qui est à l'initiative du projet », observe-t-il avec une pointe d'humour, faisant remarquer que « la France s'apprête à être dirigée par un autre... de 39 ans ! »

Et de conclure : « La volonté de faire revenir les Français en Tunisie est réelle. Si elle passe par un petit croissant, nous ne pouvons que l'encourager ! »


A.D.



Comments


bottom of page