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Un sacré numéro

  • mediafrancepresse
  • 18 avr. 2020
  • 2 min de lecture

Deux téléphones, deux numéros : les deux ne cessent de retentir. En France comme en Tunisie. Parfois en français. Parfois en arabe. Un mélange des deux..

C'est un peu l'histoire de l'homme qui murmure à l'oreille de son portable. Pas facile de tout suivre, de tout comprendre... Alors, on s'adapte, on compose... On fait avec. Toujours là, rarement disponible. Toujours occupé. Ou en ligne. Même si cela revient au même. Toujours prêt à dégainer l'arme fatale.


C'est du sport

Une apparition correspond à une disparition. En accéléré. Et comme il est partout à la fois, ce n'est pas facile de tout comprendre. Ce n'est pas facile de le suivre.

Ce n'est pas la barrière de la langue, qui n'est pas une frontière. C'est avoir le même langage... La même envie. Au même moment. Et plonger avec lui. Partager ces bonheurs quotidiens de l'instant qui se présente. Se laisser porter par une envie irrésistible et tenace de vivre sa passion... De la partager. C'est du sport !

Nous profitons de cette pause imposée pour nous interroger sur deux poses : deux photographies qui, sans être une vérité de toujours, peuvent être une évidence de l'instant.


mediafrancepresse | Azdine Ben Yacoub (Photo archives)

Du cœur et des affaires

Je m'interroge. Je n'ai toujours pas compris. Toutefois, je pense courir sur la bonne piste : homme de cœur, homme d'affaires ?

D'aucuns pourraient penser qu'il a le regard triste. Indélébilement triste de ces hommes fatigués par les batailles menées et l'acharnement que cela coûte.

D'autres l'imagineront affairiste derrière des lunettes noires... Rien de tout cela !


L'homme qui parle à l'oreille de son portable

« Un type bien et un mec bien », avons-nous écrit dernièrement dans un e-mag qui nous lui avons consacré. Tellement bien comme type et comme mec qu'il parle à l'oreille de son portable... Seuls ceux qui l'ont croisé sur les chemins de l'aventure peuvent en témoigner.

Azdine Ben Yacoub, c'est deux oreilles, deux portables... Un sacré numéro !

Jacques BLEUZE

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