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« 2020, une année difficile »

  • Photo du rédacteur: Jacques Bleuze
    Jacques Bleuze
  • 26 oct. 2019
  • 1 min de lecture

mediafrancepresse - Quel avenir pour le tourisme tunisien après la faillite de Thomas Cook ? (archives)

« Repenser le modèle proposé en Tunisie et préparer l'avenir », toujours incertain en matière de fréquentation touristique. Le début de la fin...


La faillite de l'opérateur historique britannique sur la Tunisie, Thomas Cook, conduit tous les acteurs du tourisme tunisien à « repenser le modèle proposé, tirer les enseignements des conséquences liées à cette défaillance, et préparer l'avenir », confie Nabel Bziouech.


« La fin d'un modèle »

Pour le directeur général de l'Office national du tourisme tunisien (ONTT), la faillite de Thomas Cook est « l'exemple du commencement de la fin d'un modèle ancien du tourisme en Tunisie ». Selon lui, « le tourisme est basé sur le digital (agences en ligne, low-cost, OpenSky..., NDLR). C'est vers lui que doivent regarder transporteurs aériens, hôteliers, et voyagistes (...) »


« D'autres réseaux »

« La Tunisie doit développer d'autres réseaux et d'autres mécanismes de vente », assure Nabel Bziouech. « Nous devons développer de nouveaux systèmes pour conserver la part de marché que représente la Tunisie sur l'économie mondiale du tourisme. »

« Il faut travailler pour remplacer les 100 000 sièges perdus par Thomas Cook sur la Tunisie. La tâche est difficile (...) 2020 sera une année difficile », promet le directeur général de l'ONTT. « Nous sommes engagés à faire le mieux possible, dans le cadre d'une stratégie pertinente et cohérente, en tenant compte de l'actualité politique internationale. »


Le tourisme est un secteur concurrentiel et « la Tunisie n'est pas la seule destination au monde », reconnaît Nabel Bziouech.


J.B.







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